Le QI GONG, discipline de la médecine traditionnelle chinoise a pour objectif d’entretenir une bonne santé par la mise en mouvement du corps. Par la répétition de mouvements lents accompagnés d’une respiration calme et profonde, les pratiquants travaillent la souplesse du corps permettant aux flux énergétiques de circuler librement dans le corps et de maintenir ainsi le bon fonctionnement de tous les organes. Le QI KONG, prétend la tradition, a la faculté de stimuler la vitalité et les capacités physiologiques, à tous les âges. Pratiquer quotidiennement cet art cultive ainsi la santé, l’harmonie du corps et de l’esprit en procurant souplesse, fluidité et « centrage ».

Kelig-Yann Cotto vous fera découvrir la richesse du musée et les élèves ponctueront la ballade par des intermèdes musicaux !

Cet atelier autour de la voix proposera tout d’abord quelques exercices de respiration, ainsi que des étirements, notamment du diaphragme, empruntés à des postures simples de yoga. Ces éléments nous permettront de nous mettre en condition pour aborder l’échauffement vocal, afin d’expérimenter ensemble les différents registres de la voix chantée.

Partie 1 (jeudi 4 mai 17h30) : principes mécaniques, principes acoustiques, la matière et le mouvement. Un violon, comment ça marche? Quelques différences entre le violon baroque et le violon moderne… Un quizz ludique à la fin permettra de déterminer qui est prêt pour commencer l’instrument.

Partie 2 (vendredi 5 mai 17h30):  préparation à l’écoute du concert; l’univers musical baroque, ses particularités, quelques styles différents et quelques codes d’écoute, petit parcours éclair en Europe. Jeux interactifs à la fin.

L’intervention d’Yvon Guilcher s’articule en deux moments :
un exposé sur la chanson à danser, du Moyen-Âge aux traditions populaires
et un un atelier pratique pour danser des rondes chantées anciennes ou traditionnelles.

(un atelier pratique pour danser des rondes chantées anciennes ou traditionnelles)

La projection d’un film d’enquête sur la dans tro en Bretagne, réalisé par les parents d’Yvon, Jean-Michel et H. Guilcher dans les années cinquante en milieu paysan ou chez des marins pêcheurs.